
Dans le contexte économique tendu du football français doublé dans le contexte des Aiglons par la baisse des investissements de l’actionnaire Ineos, l’OGC Nice s’efforce de maîtriser ses dépenses. Pour ce faire, le club azuréen met en place des contrats où la performance et les objectifs européens sont au cœur de la rémunération, tel que le détaille L’Equipe, dans son enquête sur les salaires de la Ligue 1.
La saison 2023-2024 a déjà vu la masse salariale du club diminuer de 10,58%, atteignant 93,012 millions d’euros. Cette année, Nice poursuit sa stratégie de gestion rigoureuse tout en conservant des ambitions sportives élevées.
Des contrats indexés à la performance du collectif
Le club a ainsi développé un système de rémunération « gagnant-gagnant ». Les contrats intègrent désormais des clauses variables importantes : primes en cas de qualification européenne, ajustements salariaux selon le classement en Ligue 1 et motivations financières pour les objectifs collectifs
Par exemple, Gaëtan Laborde pourrait voir son salaire mensuel grimper à 350 000 € si Nice se qualifie en Ligue des Champions. Jonathan Clauss bénéficie également d’un contrat modulable, pouvant atteindre 220 000 € si le club se qualifie pour la compétition reine. Une approche qui responsabilise les joueurs tout en préservant l’équilibre économique du club.
Les salaires des joueurs de l’OGC Nice cette saison 2024-2025
Gaëtan Laborde = 320 000 €/mois
Terem Moffi = 295 000 €/mois
Sofiane Diop = 270 000 €/mois
Jérémie Boga = 225 000 €/mois
Jonathan Clauss = 200 000 €/mois
Morgan Sanson = 180 000 €/mois
Tanguy Ndombélé = 170 000 €/mois
Evann Guessand = 160 000 €/mois
Mohamed-Ali Cho = 150 000 €/mois
Pablo Rosario = 150 000 €/mois
Hicham Boudaoui = 150 000 €/mois
Youssouf Ndayishimiye = 110 000 €/mois
Dante = 100 000 €/mois
Marcin Bulka = 55 000 €/mois