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C’est un pratique qui s’intensifie en fréquence, mue par une économie de plus en plus fragile et particulièrement dans le football français. Et l’Olympique de Marseille n’y fait pas exception, il appartient aux clubs les plus actifs sur les marchés des transferts, et pour nourrir ses ambitions, il prend pour habitude d’échelonner les transferts en plusieurs traites payables dans le temps.
Ces dettes sur les mutations de joueurs augmentent saison après saison : presque 35 millions en 2022, 112,5 millions la saison suivante et 171,613 millions d’euros au dernier bilan du 30 juin 2024, d’après les comptes officiels de la Direction nationale de contrôle et de gestion. Le rapport ne dit pas à quelle échéance ni à quelle équipe, l’Olympique de Marseille doit rembourser son dû.
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Le rapport dette/créance est en baisse sur un an
Un indicateur néanmoins plus positif pour le club phocéen sur la saison 2023-2024 dernier, le rapport différentiel entre les dettes et les créances du trading, comprendre ce que les autres clubs ont en retour à payer à l’OM s’est resserré au bénéfice de l’équipe que dirige Pablo Longoria : il était de plus de 2,6 en 2023, il passe à 1,7 en 2024.
Car l’Olympique de Marseille a plus que doublé les créances sur un an, de 42,254 millions à recevoir au terme de l’exercice du 30 juin 2023 à 97,201 millions un an plus tard.
2 commentaires
Le titre dit le contraire du commentaire. Quelle manipulation.
Il faut vite changer de lunettes…