
Kevin Durant figure parmi l’élite salariale de la NBA avec les Phoenix Suns. Le double champion olympique occupe le quatrième rang des joueurs les mieux payés de la ligue pour la saison 2024-2025, confirmant son statut de superstar même à 36 ans. Mais son empire financier dépasse largement les parquets de la Grande Ligue américaine.
La rémunération astronomique de « KD » chez les Suns ne représente que la partie visible de l’iceberg financier. L’ailier de Phoenix a su diversifier ses sources de revenus avec une stratégie d’investissement particulièrement avisée. Ses activités parallèles lui permettent de doubler ses gains sur le parquet, plaçant ses revenus totaux bien au-delà des 80 millions d’euros annuels.
Cette approche entrepreneuriale distingue Durant de nombreux joueurs NBA qui se contentent de leurs contrats sportifs. Le natif de Washington D.C. a compris très tôt l’importance de préparer l’après-carrière en multipliant les investissements stratégiques.
Des revenus extra-sportifs qui doublent ses gains
Parmi ses activités les plus lucratives figure sa participation dans Boardroom, plateforme média spécialisée dans le sport business qu’il a contribué à développer. Cette entreprise lui offre une exposition permanente dans l’écosystème sportif tout en générant des revenus substantiels.
Ses contrats publicitaires avec les plus grandes marques mondiales constituent également une manne financière considérable. Nike, en particulier, lui verse des royalties importantes sur sa ligne de chaussures signature, un partenariat qui perdure depuis ses débuts professionnels.
L’actualité récente a confirmé l’ambition internationale de Durant avec son entrée au capital du Paris Saint-Germain. Cette participation minoritaire, officialisée cette semaine, illustre sa volonté d’investir dans le football européen de premier plan. Cette diversification vers le soccer européen témoigne d’une vision à long terme dépassant le cadre strictement américain.
Cette opération s’inscrit dans une tendance croissante des stars NBA à investir dans le football mondial, suivant l’exemple de LeBron James avec Liverpool FC ou de Stephen Curry dans diverses franchises sportives.
Avec un contrat courant jusqu’en 2026 avec les Suns de Phoenix, Durant s’assure encore deux saisons de revenus maximaux tout en consolidant parallèlement ses investissements pour l’après-basket. Une stratégie gagnante qui pourrait lui garantir une fortune durable bien au-delà de sa retraite sportive.
Le salaire de Kevin Durant avec les Suns de Phoenix
Annuel : 44 400 000 €
Mensuel : 3 700 000 €
Hebdomadaire : 853 846 €
Quotidien : 121 644 €
Fin de contrat : 2026