C’est l’une des conséquences aux accusations de viol et d’agression portées à son encontre, bien que les charges retenues à son égard ont depuis été abandonnées. Evidemment, Mason Greenwood a passablement abîmé son image à la suite de ces révélations, lui qui était promis à d’incroyables bénéfices sportifs et extra-sportifs, a soudainement été boudé de tous les sponsors de son sport. Et même banni par Nike qui l’habillait.
Plus de sponsor égale plus de société d’image pour Mason Greenwood
La marque à la virgule a d’ailleurs récemment confirmé que le joueur, désormais sous contrat à l’Olympique de Marseille en France, n’était plus associé à elle même si le joueur continue d’en porter les produits. Conséquence donc, de cette mise à l’index des commanditaires, Mason Greenwood a entamé au printemps dernier, une liquidation judiciaire de sa société d’image, TSM Sports. Companies House, l’équivalent anglais du greffe de tribunal de commerce en France, l’annonce comme débutée sur la fin de l’hiver et le début du printemps dernier, mais elle n’est toujours pas soldée, à ce jour.
Jusqu’à 1,5 M€ de chiffre d’affaires pour TMS Sports
Créée au mois de mai 2019, la société a d’abord été gérée par Andrew, le père de l’attaquant de l’OM, ce dernier a pris la suite de son paternel à compter du mois de juin 2020. A l’origine inscrite à l’adresse de la maison familiale, elle a depuis changé d’adresse dans les locaux d’une boîte postale. Selon les données publiées par le Times, TSM Sports aurait généré un chiffre d’affaires maximal de 1,3 millions de livres (1,5 M€), mais les revenus ont ensuite chuté, au point de forcer l’intéressé à renoncer à son entreprise.
Aujourd’hui il n’est pas connu de sponsors qui soient partenaires de Mason Greenwood, c’est encore trop risqué pour les marques d’associer leur image à celle du « bad boy » anglais, même si les événements récents, depuis sont passage en Espagne à Getage et aujourd’hui à Marseille, tendent à démontrer qu’il semble s’être assagi.