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Il n’en existe pas beaucoup en Ligue 1 qui, comme le LOSC Lille parviennent à conjuguer performance sportive et équilibre financier. Mieux, dans le cas des Dogues, ils ont bouclé la saison 2024 dans le vert, en revendiquant au passage le plus gros bénéfice du football français.
Le club lillois est la preuve par l’exemple qu’atteindre ses objectifs est possible, sans vivre au-delà de ses moyens. Et cela se confirme aussi sur le marché des transferts, au rapport des recrues et cessions de joueurs. A ce jeu-là, le LOSC est à presque équilibre, au résultat de ses dettes et de ses créances sur les mutations de joueurs.
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Un différentiel négatif de 9 M€
Comprendre la différence entre ce qu’il doit encore payer à des clubs tierces, dans le cas de transferts aux paiements échelonnés dans le temps et inversement, ce qu’il attend des autres. Avec un léger déficit car la dette, qui s’élève à 37,834 millions d’euros au bilan du 30 juin dernier, tel que l’a publié la Direction nationale de contrôle et gestion (DNCG), dépasse les créances, à 31,085 millions.
Un écart de presque 9 millions d’euros, que les Dogues assument car ils ont d’autres ressources par ailleurs, notamment la Ligue des champions qu’ils ont brillamment disputé cette saison et qui présage, sans que cela ne fasse véritablement de doute, un nouvel exercice bénéficiaire au terme de la saison en cours.