Depuis l’extension de son partenariat avec Nike jusqu’en 2032, le PSG s’est rapproché du top trio européen, sur les contrats d’équipementiers les plus importants. Une étude de l’agence d’analyse et de data sportive, Sportcal évalue à presque 100 millions de dollars (90,5 M€), le bénéfice pour le club de la capitale de sa prolongation, à partir de l’année 2022. Cela paraît modeste comparé aux 174,83 millions de dollars de Nike (158 M€), toujours, pour le FC Barcelone, mais Paris est désormais à ce niveau, dans les standards européens. Compte tenu des sommes ici exprimées, c’est un domaine qui compte pour part majeure, dans les recettes des clubs.
Le 4e contrat d’équipementier le plus valorisé du foot pour le PSG
L’OM et l’OL aussi, ont récemment revalorisé leurs partenariats d’équipementiers. Marseille d’abord, en changeant son partenaire historique adidas pour Puma, à compter de l’exercice 2018-19 et pour cinq ans. Ce rapprochement rapporte au club phocéen 15,12 millions de dollars (13,7 M€), cet exercice 2019-20. Selon le rapport se SportCal, la valorisation du maillot de l’OM est légèrement supérieure à celle du Milan AC. Ça vaut d’autant la comparaison, que les deux clubs ont opéré la même bascule, en même temps en passant d’adidas à Puma. Sur ce domaine précis du business, l’Olympique de Marseille a su tirer son épingle du jeu, dans la négociation. C’est à mettre au crédit de la direction qui en a bien besoin, en ce moment.
L’OM et l’OL ont changé ou prolongé à la hausse les contrats
L’Olympique Lyonnais n’a pas changé d’équipementier mais prolongé son expérience avec adidas. C’était à l’automne dernier, jusqu’en 2025. Cette saison, l’association rapporte 11,51 millions de dollars (10,4 M€), les Gones sont dans le top 20 des cinq grands championnats européens, pour les équipes qui ont les plus gros contrats de sponsoring. Enfin, selon le rapport de Sportcal, les équipementiers du foot versent 83,670 millions de dollars aux vingt clubs de la Ligue 1, cette saison 2019-20. C’est bien sûr avant le renouvellement du PSG et de Nike et en augmentation de 4%, sur l’exercice précédent.