
Le Paris Saint-Germain a validé ce lundi soir sa qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe du monde des clubs 2025, et il affrontera dimanche, l’Inter Miami de Messi. Une rencontre pour laquelle les bookmakers affichent une confiance quasi totale envers l’équipe française. Cette rencontre oppose le vainqueur du groupe B au dauphin du groupe A.
Les cotes parlent d’elles-mêmes : une victoire parisienne est cotée à seulement 1,19, traduisant une probabilité jugée quasi certaine par les bookmakers. À l’inverse, un succès de l’Inter Miami atteint la cote vertigineuse de 10,00, révélant le peu de crédit accordé à la formation floridienne dirigée par Javier Mascherano. Le match nul, coté à 6,15, apparaît comme le seul scénario susceptible de compliquer la tâche des Parisiens dans cette confrontation à élimination directe.
Retrouvailles entre Messi et le PSG
L’analyse des cotes sur les scores exacts confirme l’attente d’une rencontre serrée. Les bookmakers privilégient les victoires courtes du PSG, avec un 2-0 coté à 5,95 et un 1-0 à 9,10. Plus surprenant, le 3-0 parisien (6,45) est jugé plus probable qu’un simple 1-0. Du côté de Miami, les rares scénarios de victoire envisagés passent par des scores très défensifs : un 0-1 est coté à 30,00 tandis qu’un succès 0-2 grimpe à 65,00. Le match nul sans but (24,50) reste le scénario le plus crédible pour les Américains selon les parieurs.
Cette affiche revêt une dimension particulière avec le retour de Lionel Messi face à son ancien club parisien. L’Argentin, arrivé à Miami en juillet 2023 après deux saisons compliquées dans la capitale française, retrouvera un collectif qu’il a quitté dans l’indifférence relative. Pour le PSG, cette rencontre représente l’opportunité de valider son statut de favori continental face à une équipe de MLS certes diminuée par rapport aux standards européens, mais portée par l’aura de son capitaine octuple Ballon d’Or.
Les cotes de qualification renforcent encore cette hiérarchie établie : 1,08 pour Paris, 5,15 pour Miami. Ces chiffres suggèrent que les opérateurs ne croient guère aux chances de l’équipe américaine de créer la sensation dans cette Coupe du monde des clubs renouvelée.