
Après l’Europe, la conquête du monde ? Les bookmakers ont tranché pour la finale de la nouvelle Coupe du monde des clubs : le Paris Saint-Germain part grand favori face à Chelsea FC. Une confiance qui s’exprime par des cotes sans équivoque en faveur du club parisien, vainqueur du Bayern Munich en quarts, puis du Real Madrid.
Les marchés de paris reflètent une domination attendue du PSG avec une cote de 1,58 contre 5,20 pour Chelsea. Un écart considérable qui témoigne de la confiance des bookmakers envers les Parisiens, qui ont impressionné lors de leurs victoires successives face aux géants européens. Le match nul, coté à 4,05, apparaît comme un scénario peu probable aux yeux des opérateurs, qui anticipent une finale à sens unique en faveur du club de la capitale française.
Les scores exacts les plus probables confirment cette tendance. Une victoire parisienne 1-2 est cotée à 6,65, tandis qu’un succès 0-2 affiche une cote de 6,90. Les bookmakers envisagent même un 0-1 parisien à 9,00, suggérant une maîtrise tactique du PSG. À l’inverse, les victoires de Chelsea paraissent improbables avec des cotes vertigineuses : 17,80 pour un 1-0, 27,00 pour un 2-0 et 75,00 pour un 3-0. Ces cotations reflètent le scepticisme des opérateurs quant aux chances des Blues, pourtant vainqueurs successivement de Palmeiras et Fluminense.
,13 conte un le PSG champion du monde
Sur le marché des buteurs, Ousmane Dembélé apparaît comme le favori avec une cote de 2,17, devançant Gonçalo Ramos (2,41) et Bradley Barcola (2,52). Cette hiérarchie souligne l’importance accordée à l’ailier français dans le dispositif parisien. Côté Chelsea, Liam Delap (3,90), João Pedro (3,95) et Cole Palmer (4,20) possèdent des cotes plus élevées, témoignant d’une confiance moindre dans leur capacité à faire trembler les filets parisiens.
Le marché de la victoire finale confirme cette tendance avec une cote de 1,30 pour le PSG contre 3,52 pour Chelsea. Cette finale s’annonce comme un test de vérité pour le PSG, qui aura l’occasion de valider son statut de favori face à des Blues qui ont su écarter deux formations brésiliennes redoutables.