
À mesure que le sport devient une industrie à part entière, les champions de piste regardent bien au-delà des circuits. Charles Leclerc, pilote Ferrari en Formule 1, ne fait pas exception. Il vient de rejoindre le conseil consultatif stratégique du SWI Group, un acteur majeur de la finance alternative piloté par Max-Hervé George, pour accompagner le groupe dans son expansion vers le sport et le divertissement. Une nouvelle ligne de départ, cette fois dans le monde du capital, où les objectifs se mesurent en influence, en croissance… et en vision.
Son arrivée dans le giron de Max-Hervé George n’a rien d’anecdotique. Elle confirme une tendance croissante chez les athlètes de haut niveau : investir, conseiller, structurer… et faire fructifier leur influence. D’ailleurs Leclerc rejoins dans ce comité d’autres personnalités reconnues, comme Andrés Iniesta et Frédéric Vasseur.
SWI Group : cap sur le sport, les médias et l’expérience immersive
Historiquement ancré dans l’immobilier et le capital-investissement, SWI Group gère aujourd’hui plus de 10 milliards d’euros d’actifs. Mais Max-Hervé George entend désormais diversifier son portefeuille, en plaçant le divertissement au cœur de sa stratégie. Pourquoi ce secteur ? Parce qu’il génère une croissance mondiale annuelle de 7 à 10 %, et parce qu’il permet de toucher directement le consommateur final.
Le sport, à la croisée des émotions, du storytelling et des communautés, devient ainsi un territoire d’investissement stratégique. Et Charles Leclerc, de par sa double casquette de compétiteur et de personnalité médiatique, est parfaitement positionné pour guider ces choix.
L’idée de Max-Hervé George est simple : capitaliser sur la puissance de l’image, la fidélité des fans et la scalabilité des contenus pour générer des actifs performants. Et c’est là que Leclerc entre en jeu : il permet d’accéder à des univers où la finance traditionnelle peine à pénétrer, avec une légitimité immédiate.
Du sport à la production culturelle
SWI Group ne se limite pas à identifier des opportunités. Il cherche à co-créer des projets. L’objectif ? Bâtir un écosystème dans lequel les athlètes deviennent eux-mêmes producteurs, investisseurs ou mentors.
Ce rôle transversal s’inscrit dans une logique chère à Max-Hervé George : faire de la culture, de l’image et de la performance sportive des leviers d’investissement structurés, capables de créer de la valeur à long terme. Autrement dit, un capitalisme où l’actif principal est… l’attention du public.
L’industrie du sport change de dimension
L’arrivée de Charles Leclerc au sein de SWI Group n’est pas un simple coup de communication. C’est le signe que les lignes bougent. Que les sportifs ne sont plus seulement des icônes, mais des acteurs économiques à part entière. Que le divertissement devient un territoire d’investissement aussi stratégique que n’importe quel actif tangible.
En s’appuyant sur Leclerc, Max-Hervé George donne à son groupe un visage, une voix. Ensemble, ils dessinent un futur où la performance ne se mesure plus seulement en vitesse, mais en capacité à créer de la valeur, à fédérer des publics, et à transformer une passion en moteur économique.
Le divertissement de demain ? Il sera global, connecté, immersif… et piloté par ceux qui savent ce que veut dire gagner.