Pour cette 29e journée de Ligue 1, l’AS Saint-Étienne, actuellement en position délicate au 17e rang, reçoit le Stade Brestois, solide 8e du championnat. Un duel déséquilibré sur le papier, comme en témoignent les cotes proposées par les bookmakers.
Les opérateurs ne s’y trompent pas : Brest part avec les faveurs des pronostics. Avec une cote de 1,98 pour une victoire brestoise, les bookmakers estiment à environ 50% les chances de succès des Finistériens. De leur côté, les Verts sont donnés à 3,48, tandis que le match nul s’affiche à 3,75, deux scénarios crédités chacun d’une probabilité d’environ 10%.
Dans le détail des scores exacts, les opérateurs anticipent une rencontre plutôt équilibrée. Le scénario le plus probable selon les cotes est un match nul 1-1, avec la cote la plus basse à 6,30. Ce résultat apparaît donc comme le plus crédible toutes issues confondues. En cas de victoire brestoise, c’est le 1-2 qui est privilégié (cote à 7,85), suivi du 0-1 (8,80). Côté stéphanois, une victoire 1-0 apparaît comme le résultat le plus envisageable pour les Verts avec une cote de 12, bien que cette hypothèse soit jugée moins probable que les scénarios favorables à Brest.
Vers un match serré à Geoffroy-Guichard ?
Au rayon des buteurs potentiels, Ludovic Ajorque fait figure de favori avec une cote de 2,65. Son coéquipier Abdallah Sima suit de près (2,75), confirmant la supériorité offensive attendue des Brestois. Mama Baldé complète le trio offensif avec une cote de 3,10. Dans le camp stéphanois, c’est le jeune belge Lucas Stassin qui apparaît comme la menace principale (3,45), devançant légèrement Ibrahim Sissoko (3,60) et le Géorgien Zuriko Davitashvili (3,65), ce dernier étant d’ailleurs considéré comme le joueur le plus susceptible d’être décisif côté ASSE avec une cote de 2,30.
Pour cette confrontation entre deux équipes aux objectifs diamétralement opposés – le maintien pour Saint-Étienne, une place européenne pour Brest – les bookmakers semblent donc privilégier la logique du classement, tout en n’excluant pas la possibilité d’un sursaut d’orgueil des Verts devant leur public du Chaudron.