C’est l’un des boss du foot français les plus discrets, Olivier Sadran n’en est pas moins un puissant personnage, entrepreneur émérite, du moins en ce qui concerne ses activités professionnelles. Patron de la société Newrest, en plus du Toulouse Football Club dont il est à la tête depuis 2001, l’homme d’affaire de 47 ans est la 235e fortune de France en 2017, au classement annuel des riches du pays, effectué par le magazine Challenge.
La Lamborghini jaune poussin de Dimitri Payet par Sportune
Olivier Sadran est la 235e fortune de France en 2017
Sa fortune est estimée par les auteurs de l’enquête, à 235 millions d’euros. Olivier Sadran détient 35% de Newrest qu’il a fondé, une société spécialisée dans la restauration des compagnies aériennes, au chiffre d’affaire de 1,1 milliards d’euros, selon Challenge. Avec le TFC, la réussite de Sadran est plus mesurée ; il l’a repris en 2001, alors qu’il végétait en championnat national, pour le remettre à un plus juste niveau, en championnat de Ligue 1. Mais le palmarès du club de la quatrième plus grande ville de France est toujours vierge, depuis la coupe de France gagnée en 1957.
Plus riche que Jean-Michel Aulas que le patron du Toulouse FC prend parfois en exemple
A l’échelle du foot français, Olivier Sadran est infiniment moins riche que le fond souverain du Qatar, au PSG, que Dmitri Rybolovlev à l’AS Monaco, que la famille Pinault au Stade Rennais ou Frank McCourt à l’OM et très probablement que Gérard Lopez au LOSC, dont on ignore toutefois l’estimation précise de sa fortune. Sinon, Sadran devance tous les autres, au classement des patrons les plus riches du foot. Y compris Jean-Michel Aulas à Lyon, qu’il prend parfois en bon exemple de réussite, dans l’univers compliqué du football.
Un commentaire
Marre de Sadran et de son club pathétique qui gagne 3 matches par saison.