7. Marion Jones
Plusieurs années avant Armstrong, elle aussi a menti sous serment jurant n’avoir jamais touché à des produits dopants alors qu’elle était interrogée dans « l’affaire Balco », en 2003. Cinq ans plus tard, Marion Jones, ex-reine mondiale du sprint est allée en prison, purger une peine de six mois pour son mensonge à la Cours de justice américaine. Entre temps, l’Américaine aux cinq médailles olympique (3 d’or et 2 de bronze) a avoué s’être dopée aux stéroïdes. Ses breloques lui ont toutes été retirées, l’estime de Nike, son sponsor majeur, aussi.