La piste a été entièrement balisée avec des plots de couleurs différentes pour nous aider à cibler les zones de freinage et prendre les virages au meilleur endroit.
Premier tour: les accélérations me collent au siège. Une sensation étonnante que la voiture est aussi légère qu’une plume. Et une forte impression dans le virage en anneau qui nous positionne à la quasi-verticale du sol.
Les pilotes avaient raison, il faut vraiment se lever sur le frein pour revenir à une vitesse « normale » dans les virages !
Grosse impression
Deuxième tour, je commence à me faire au circuit et je profite de plus en plus des accélérations.
Passons maintenant à la SLS 63 AMG
J’ai bien fait de faire plusieurs tours avec la CLS 63 AMG car je suis totalement rassuré par la qualité des co-pilotes qui nous poussent au maximum et anticipent avec précision nos réactions.
La SLS est belle, racée. L’assise est très basse, on sent le contact avec la piste. Le bruit du moteur est envoûtant. J’écrase la pédale d’accélération avec un plaisir non dissimulé. Une véritable fusée. La tenue au sol dans les virages est bluffante alors que je ne suis qu’à 20 ou 30% de ses capacités.