Corrigé à la maison par Fribourg (0-4), le FC Nantes n’a pas perdu tout espoir de voir les huitièmes de finale, de la Ligue Europa, saison 2022-2023. Mais le temps presse, à mesure que le jeu des hommes d’Antoine Kombouaré se délite. Les Canaris sont à la peine et ça se traduit sur les primes gagnées jusqu’ici, depuis l’entame du tournoi.
Une gifle pour le FC Nantes mais la qualif reste encore jouable
Un seul succès, c’est ce que les Nantais ont remporté. Il est payé en phase de groupes, 630 000 euros par l’UEFA, qui organise le tournoi, contre 210 000 euros pour un nul. Les 32 équipes qualifiées pour cette phase finale ont toutes aussi en commun une prime de base égale à 3,63 millions d’euros. Avec, il y a le classement au coefficient sur dix ans de compétitions européennes révolues. A ce jeu là, le FC Nantes part de loin, puisqu’il n’avait pad disputé de compétition européenne depuis 18 ans.
5,448 M€ garantis pour les canaris, moins les droits de la télé
A 132 000 euros la part, le FC Nantes en revendique neuf qui valent 1,18 millions d’euros. Lesquels, quand ils s’ajoutent aux autres bonus précédemment énoncés font un total de 5,448 millions d’euros, cumulés par les Jaunes et verts, en Ligue Europa. Ce chiffre ne prend pas en compte les droits de la télé, mesurés en fin de tournoi, en fonction du nombre de clubs d’un même pays engagés (trois français en Ligue Europa et la possibilité d’un autre, venus de la C1).
Les barrages ne rapportent rien, en revanche, terminer premier de son groupe vaudrait au FCN une rallonge de 500 000 euros, et encore 1,2 millions pour l’accession aux huitièmes de finale. Mais à ce stade du tournoi, on en est pas là, pour les hommes de Kombouaré.