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F1 2012 – GP Europe: Nos petites histoires du samedi…

23 juin 2012 à 17:26 par Marc Limacher

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Dietrich Mateschitz, le patron de Red Bull avec Sebastian Vettel @Iconsport

Dietrich Mateschitz, le patron de Red Bull avec Sebastian Vettel @Iconspor

Ce samedi, le paddock du GP d’Europe de F1 2012, offre quelques petites histoires intéressantes. En marge de la pôle-position de Sébastian Vettel, devant Lewis Hamilton et Pastor Maldonado, Red Bull gère la Formule 1 et le football,  la controverse du nombre de GP à l’avenir et les dessous de la Red Bull RB8. Tour d’horizon des petites histoires de ce samedi, au GP de F1 d’Europe 2012. 

Entre Football et F1 pour Red Bull au GP Europe 2012

C’est un détail, mais c’est une première qui doit être soulignée. Le patron de Red Bull, Dietrich Mateschitz a annulé son voyage pour le GP d’Europe. Homme de négociation de contrat, le milliardaire est resté en Autriche ce week-end pour négocier le contrat du nouvel entraîneur du Red Bull Salzbourg, Ralf Rangnick. Il est très rare que Mateschitz annule un déplacement en F1.

La controverse du nombre de GP à l’avenir

Le nombre de Grand Prix annoncé dès 2013 dans le calendrier de la Formule 1 inquiète outre mesure certaines équipes qui estiment que cela va à l’encontre de la politique de réduction des coûts qui est actuellement en discussion avec la Fédération International de l’Automobile. D’autant que la liste comprendra près de 26 courses dans un avenir proche, surtout des courses à déplacement coûteux.

Les dessous de la Red Bull RB8 en question

Après l’affaire des trous dans le plancher, interdit depuis, c’est le nouveau plancher de la monoplace autrichienne qui pose question. Certains le désigne déjà comme étant une version B voir D de la machine d’origine. Le design de ce nouveau plancher permet d’augmenter l’appui sous la voiture et de reproduire le principe du double diffuseur, interdit fin 2010. Mais, dans l’esprit ce nouveau design est réglementaire.  Rappelons qu’en 2009, le surcoût de développement du double diffuseur était facturé 5 millions d’euros pour les équipes n’ayant pas eu l’idée à l’origine.


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