Ce n’est en rien nouveau, de tous temps Arsenal a gardé un oeil attentif et avisé sur la Ligue 1. Avant avec Arsène Wenger et désormais par le prisme de Unai Ermey, anciennement au PSG. Cet été, les Gunners ont prospecté en France pour recruter Nicolas Pépé, l’un des grands artisans de la saison dernière au LOSC et le plus jeune William Saliba, formé à l’Etrat, au centre des Verts de l’ASSE. Le transfert du défenseur de 18 ans s’est négocié à près de 30 millions d’euros, pour l’indemnité.
Un contrat de 5 ans avec Arsenal, mais une saison en prêt à l’ASSE
En contrepartie, William Saliba a paraphé un contrat d’une durée maximale de cinq ans, à l’échéance du 30 juin 2024 au soir. En contrepartie également, Arsenal et l’AS Saint-Etienne ont convenu que le joueur reste en prêt dans le Forez, pour couvrir l’exercice 2019-20 et s’épanouir une dernière fois en Ligue 1. Avant de rejoindre la piste aux étoiles, de la Premier League.
William Saliba rejoint la cour des grands, son contrat s’applique en conséquence
Ce passage « chez les grands » du football mondial s’accompagne naturellement de conditions salariales appropriées à la situation. C’est-à-dire que même encore espoir chez les Gunners, William Saliba justifiera d’un salaire donné à 50 000 livres hebdomadaires. Au cours monétaire du moment, c’est l’équivalent pour lui d’une saison à 2,8 millions d’euros, environ. A Saint-Etienne, il avait été prolongé au mois d’avril dernier jusqu’en 2023, à des conditions plus avantageuses que son précédent contrat (jusqu’en 2021), avec l’avantage d’une prime à la signature. On ignore ce que les Verts ont à leur charge, mais il est peu probable qu’ils assument l’intégralité du salaire du défenseur, le temps de son prêt, car ses nouveaux émoluments dépassent les salaires de M’Vila et Khazri considérés comme les joueurs les mieux payés dans le vestiaire de Ghislain Printant.
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