Comme chaque année, le magazine Forbes fait son classement des sportives les mieux rémunérées. Pour cela, le média américain prend en compte l’ensemble des revenus. Autrement dit, ce que les athlètes gagnent sur le terrain et en dehors du terrain, à travers leurs sponsors. À la 24ème place de ce classement, on retrouve la tenniswoman Caroline Garcia. Au total, la joueuse de 29 ans a touché 5,2 millions de dollars lors de cette saison 2022.
Caroline Garcia a touché 3,7 millions de dollars de prize money
17 ans après Amélie Mauresmo, Caroline Garcia a remporté le Masters WTA, tournoi où les huit meilleures joueuses du monde s’affrontent. Grace à ce succès, la joueuse française se classe à la quatrième place du classement WTA. Outre le Masters, Garcia a également remporté le tournoi de Bad Hombourg, de Cincinnati et de Varsovie. La tenniswoman de 29 ans a également atteint les demi-finales de l’US Open. Cette belle saison lui a permis de remporter 3,7 millions de dollars de prize money. À titre de comparaison, elle avait touché 560 000 dollars la saison dernière.
1,5 million de dollars grâce à ses sponsors
On le sait, les grands sportifs engrangent la majorité de leurs revenus non pas de leurs performances sur le terrain, mais de leurs sponsors. Ce n’est pas encore le cas de Caroline Garcia, qui est actuellement en partenariat avec 3 marques : l’horloger suisse Rolex, l’enseigne de produits de beauté Sothys et son équipementier, la marque japonaise Yonex, qui lui fournit ses tenues ainsi que ses raquettes. Ces 3 sponsors lui rapportent 1,5 millions de dollars. En additionnant le prize money de cette saison à ses revenus de sponsoring, on obtient un total de 5,2 millions de dollars. Soit la somme touchée par la joueuse cette année. Si elle ne fait pas encore partie de ces sportives qui gagnent plus grâce à leurs contrats avec des marques que pour leurs performances sur le terrain, il faut rappeler que le succès attire les partenariats. Caroline Garcia sait désormais ce qui lui reste à faire pour entrer dans cette catégorie.