A performance exceptionnelle, saison d’exception ? Gageons-le, car après l’exploit des Bleus aux derniers Jeux Olympique de Tokyo, jamais le volley tricolore n’avait bénéficié d’une si belle exposition, sportive et médiatique. Deux mois après, les affaires courantes viennent de reprendre, à l’échelle nationale, avec la rentrée de la saison 2021-2022 de la Ligue A volley.
Au Tours Volley-Ball le budget le plus épais de la saison
Sur la ligne de départ, forcément que tous les clubs ne se valent pas. Les budgets ici vont du simple au double, aux extrêmes, du Tours Volley-Ball, le plus riche, à Cambrai Volley, le plus modeste. En moyenne, un club de l’élite de la discipline en France aligne un budget proche de 1,4 millions d’euros, pour couvrir cet exercice, entre ceux de Nantes-Rezé Métropole Volley et Narbonne Volley, d’un côté, et le Stade poitevin volley beach.
Et Montpellier a la masse salariale la plus épaisse
Avoir le plus gros budget prévisionnel ne se conjugue pas toujours avec la masse salariale. La preuve étant qu’à près de 660 000 euros, celle du Montpellier HSCV est la plus fournie du plateau, devant le Tours VB, à 650 000 € et Tourcoing, à 620 000 euros.
Tous les budgets des clubs de la Ligue A volley 2021-2022
Tours Volley-Ball = 2,1 M€
Arago de Sète = 1,9 M€
AS Cannes = 1,8 M€
Montpellier HSCV = 1,8 M€
Tourcoing-Lille Métropole VB = 1,6 M€
Chaumont Volley-Ball 52 = 1,6 M€
Stade poitevin volley beach = 1,5 M€
Nantes-Rezé Métropole Volley = 1,3 M€
Narbonne Volley = 1,3 M€
Spacer’s Toulouse Volley = 1,2 M€
Paris Volley = 1,2 M€
Plessis-Robinson Volleyball = 1 M€
Nice Volley-Ball = 1 M€
Cambrai Volley = 0,9 M€