A 41 ans, Thierry Henry a déjà eu plusieurs vies. Footballeurs principalement, c’est ce qui l’a rendu célèbre et champion du monde de la discipline. Ça n’est pas rien. Après quoi, l’ancien buteur de Monaco, de la Juventus, d’Arsenal, du Barça, ou du Red Bull de New York a embrassé une carrière de consultant sur une puissante chaîne britannique. Et cette année 2018 est celle de ses débuts dans le métier d’entraîneur, après une expérience en tant qu’adjoint avec la Belgique et désormais, seul sur le banc de l’AS Monaco.
Un salaire proche de 4M€ par an pour entraîner l’AS Monaco
Aujourd’hui, aura mondiale et expérience monstrueuse obligent, tout ce que fait Thierry Henry se paie. Son tout premier salaire d’entraîneur principal négocié, lui rapporte 4 millions d’euros par an estimés. S’il n’en a pas fait une question financière, Thierry Henry compte tout de même parmi les techniciens les mieux payés de la Ligue 1. Tout ce qu’il a entrepris, depuis la fin de sa carrière jusqu’à aujourd’hui repose sur ce principe. Joueur, Thierry Henry gagnait jusqu’à près de 20 millions d’euros par an, au meilleur de sa carrière, au tout début des années 2010.
Qui se souvient de Thierry Henry dans les spots commerciaux pour la Renault Clio ?
Gros caractère et personnalité un peu clivante, Henry a rarement laissé indifférent, même chez ceux qui ne suivent le football que de loin. Ceux qui aiment la discipline ne voient que le joueur exceptionnel qu’il était, sa science et son amour du jeu, les autres gardent l’image de sa main contre l’Irlande et toute la controverse qui en a suivi. Malgré ce décalage, le meilleur buteur de l’histoire de l’équipe de France de football a toujours eu régulièrement l’adhésion des annonceurs. En différentes époques, il a été l’image de Renault. Egalement associé, durant sa carrière, à Pepsi, Gatorade, aux casques Beats et avec les deux éditeurs des jeux de foot sur console, EA Sports (FIFA) et Konami (avec PES).
Nike l’a habillé toute une partie de sa carrière. Aujourd’hui, il est chez Puma
Sur les équipementiers qui l’ont habillé, Thierry Henry en a consommé trois. Nike d’abord, pour le plus gros de son histoire, de ses débuts chez les pros, jusqu’à près de la trentaine. Après quoi, il a rejoint Rebook, puis Puma qui le soutient toujours, depuis qu’il a raccroché les crampons. Joueur, ses contrats d’équipementiers lui rapportaient plus ou moins 2 millions d’euros par an, chez Nike puis Reebok.
Fortune estimée qui dépasse la centaine de millions d’euros pour le meilleur buteur des Bleus
Il est par ailleurs, un personnage impliqué dans la vie associative. Il a notamment fait le don de son salaire d’adjoint de la sélection belge (estimé à près de 50.000 euros par an), à une fondation caritative. Il est enfin propriétaire de résidences, notamment à Londres et à New York. De l’autre côté de la Manche la fortune de Thierry Henry est donnée proche de 50 millions d’euros, mais elle serait plus justement estimée supérieure au double voire au triple.
Un commentaire
as monaco en crise pour qw henrry retarde pour kamano et michy faux tout faire pour recruter les deux attaquent là