Conséquence de sa très bonne saison, le promu nîmois peinera surement à conserver ses meilleurs éléments au mercato qui se profile. Dans la liste des éléments courtisés, le Midi Libre avance le nom du milieu de terrain, Téji Savanier. L’AS Monaco ou le voisin et rival nîmois, Montpellier ont l’oeil sur lui. L’OM également. Nîmes l’ayant prolongé l’été dernier, les Crocos ont l’avantage de la situation, sans toutefois connaître ni leur position sur le dossier, ni les attentes du joueur. Mais Téji Savanier est un élément qui progresse et se valorise. La preuve avec les chiffres qui le concerne…
L’OM et d’autres clubs ont un oeil sur le nîmois Téji Savanier
D’abord sa valeur marchande estimée sur le mercato. Jusqu’ici, Téji Savanier a connu deux transferts, de Montpellier à Arles-Avignon en 2011, puis d’Arles à Nîmes, en 2015. Mais jamais d’opération payante, avec indemnité à la clé. Ça changera s’il doit partir cet été, après une première saison de découverte de l’élite du foot français. L’estimation de sa valeur est imprécise, entre l’Observatoire du football en Suisse, pour qui il avoisine les 2 à 4 millions d’euros et les 10 millions d’euros estimés, sur la plateforme Transfermarkt. A la fin de l’exercice en cours, il restera trois ans de contrat au droitier de 27 ans, à compenser pour que Nîmes consente à s’en séparer.
Un contrat jusqu’en 2022 à compenser pour que les Crocos lâchent leur joueur
Au 30 juin 2022, telle est donc l’échéance du bail signée au mois de juin 2018 dernier, par le joueur et son club. Depuis Téji Savanier avoisine selon le journal L’Equipe, les 35 000 euros bruts mensuels, hors primes additionnelles. C’est l’équivalent ou presque du salaire moyen au Montpellier HSC et inférieur à ceux de l’ASM ou de l’Olympique de Marseille. Ou qu’il aille, s’il bouge à la fin de la saison, le milieu axial sera financièrement revalorisé.