Le monde se transforme en accéléré, la période n’est plus à le constater, mais aux actes. Ceux fondateurs, qui posent les jalons d’un futur forcé d’être plus vertueux. C’est une chose de le dire, agir en est une autre, mais l’initiative a toujours plus de force, quand elle émane du plus haut. Le partage et le collectif, sont dans l’ADN de la MAIF. Désormais, il y a aussi l’écologie comme case en plus, et une question que l’assureur veut centrale, dans sa manière de communiquer.
« MAIF Sport Planète », tel est le sens de l’orientation choisie et à présent défendue par le groupe, avec la complicité de trois athlètes professionnelles (Justine Dupont, Charlotte Bonnet et Céline Dumerc), d’ambassadeurs éco-aventuriers, et en comptant sur les efforts du plus grand nombre, via le Challenge MAIF Sport Heroes, autour du concept de plogging qui vise à mélanger l’activité physique et l’éco-responsabilité. En clair, courir tout en ramassant les déchets que l’on trouve sur son trajet.
« La MAIF ne sauvera pas le monde à elle seule, mais si elle donne l’exemple et qu’elle inspire, nous aurons été utile »
« La conviction de la MAIF, c’est qu’aujourd’hui et encore plus demain, les entreprises quelles qu’elles soient ne pourront plus se contenter de produire des biens des services, de se développer, de générer des bénéfices, d’en restituer une partie aux actionnaires… Ça c’est l’économie d’hier, explique Dominique Mahé, le président de la MAIF. Demain les entreprises devront se préoccuper, dans leurs activités, à faire en sorte qu’elles développent en toute chose, un impact positif. Pour la MAIF c’est véritablement une conviction de cohérence, dans toutes nos activités, dont nos partenariats sportifs, nous devons agir pour que la planète se porte un peu mieux. La MAIF ne sauvera pas le monde à elle seule, mais si elle donne l’exemple et qu’elle inspire, nous aurons été utile. »
Pour que le message porte, trois championnes intègrent le dispositif. Parmi elles, la surfeuse Justine Dupont, qu’il n’a pas eu besoin de convaincre, étant elle même la disciple d’un mode de vie sans gaspillage et autant qu’elle le peut en harmonie, avec le monde des océans qui lui sert de terrain de jeu. « Je roule en véhicule hybride, nous avons acheté une maison dans une prairie, on y plante des arbres, on essaie de réduire nos déchets au maximum, avec Fred (Fred David, son compagnon, lui même champion de bodyboard), nous sommes végétariens, depuis un an et demi », détaille la Bordelaise de 29 ans.
Trois championnes pour ambassadrices et des éco-aventuriers dans l’équipe de la MAIF
Pour la MAIF, Justine Dupont prend le défi de faire plus, pour tenter de réduire sur un an son empreinte carbone. Elle explique : « Quand j’ai rencontré la MAIF, l’échange s’est créé autour de cette cause environnementale, et petit à petit on a pensé à ce programme « Sport Planète » et à calculer mon empreinte carbone. Mon intention c’est de la réduire, et dans ma vie quotidienne c’est un défi. On va calculer tout ce que je dépense à partir d’aujourd’hui et on fera le bilan dans un an, au niveau de l’essence du jet ski, des billets d’avions et de tout ce que je consomme dans ma pratique. » A la fin de l’opération, le bénéfice généré sur l’échelle de la consommation sera converti en argent sonnant et trébuchant, avec l’aide de la Fondation Good Planet. Et les fonds serviront au reboisement de la forêt de Chiberta dans les Landes, qu’un incendie a détruit en 2019.
De son côté, Charlotte Bonnet défendra le « Prix MAIF Sport Planète », une initiative pour soutenir les projets les plus engagés. Avec la plateforme Ulule quatre d’entre eux seront sélectionnés tous les trimestres, et les vainqueurs bénéficieront d’une dotation financière, en plus de postuler au « Grand Prix Sport Planète MAF », en fin d’année 2021. Le projet vainqueur sera choisi par un panel de journalistes, dans le cadre des Micros d’or. Quant à Céline Dumerc, elle est la tête de pont d’une équipe de France de basket, elle même soutenue par l’assureur français. Les Bleues toutes ensemble contribuent à l’opération « FFFBB Citoyen MAIF » à chaque fois qu’elles jouent et marquent ; 3000 euros sont reversés quand elles passent la barre de 75 points et jusque’à 5000 euros pour 100 points et plus.
Enfin, restent les éco-aventuriers, de jeunes femmes et hommes qui ont en commun la pratique du sport outdoor et l’envie de protéger l’environnement qui les entoure et leur procure le plaisir de la pratique. Arthur Germain est l’un d’eux, à 16 ans, il se fixe l’objectif de descendre à la nage la Seine, depuis le nord-ouest de Dijon, jusqu’au Havre. Son défi est inédit, il l’exécutera sans assistance, à raison de 6h de nage quotidienne avec les 60 kg de son kayak de matériel à tracter. C’est un exploit, un vrai, pour Arthur.