Les footballeurs se repèrent de plus en plus jeunes. C’est le sujet d’une enquête dédiée dans le journal L’Equipe, ce mercredi 14 novembre. La richesse de la formation française étant internationalement reconnue, les équipes nationales ont de plus en plus de difficultés à retenir leurs jeunes promesses, car elles sont l’objet de convoitises extérieures. Et parfois voisines. En conséquence de quoi, les salaires d’un premier contrat professionnel explosent. Au PSG ou à l’AS Monaco, ils sont parfois ceux d’un élément confirmé. Chez les Verts de l’ASSE, la rémunération elle aussi a augmenté, ces dernières années.
Comme Saliba à l’ASSE, les jeunes talents se paient désormais plus cher avant même leur éclosion
Selon l’âge, le statut, la Charte du football professionnel prévoit des rémunération de 2.800 à 5.600 euros bruts pour de premiers contrats d’aspirants. Mais l’AS Saint-Etienne comme d’autres de ses rivales doit nécessaire viser plus haut, avec ses meilleurs talents en formation. A l’exemple de William Sabila, défenseur central de 17 ans déjà auteur de trois matchs de Ligue 1, cette saison 2018-2019, dont deux comme titulaire. Tel que l’explique un agent au journal L’Equipe, son cas est assez représentatif de ce qu’il se passe avec les promesses en devenir, du pays. « Des clubs comme Mönchengladbach sont capables de verser des primes allant de 500.000 euros à 3 millions d’euros », dit-il. Pour des footballeurs qui n’ont encore rien prouvé, c’est énorme.
Des salaires qui s’alignent voire dépassent parfois des joueurs moyens de la Ligue 1
Et ça oblige les structures qui les forment à composer en fonction. Quand bien sûr, elles en ont les moyens. Ainsi, à Sainté, les premiers salaires, pour les pépites en apprentissage, avoisinent les 5.000 à 10.000 euros bruts mensuels. En contrepartie, tel que l’explique l’agent : « Avant même qu’il pose un pied sur le terrain, Saliba vaut 5 à 6 millions d’euros. Même s’ils (les dirigeants qui l’engagent) lui offrent une forte prime, ils feront une plus-value ». A ce point même qu’un aspirant prometteur, sans la moindre expérience professionnelle vaudrait autant sinon plus, qu’un joueur moyen mais confirmé de l’élite du foot français.
2 commentaires
c’est pas normal ça c’est comme ça que nous avons perdu BAMBA si on sécurise pas nos jeunes ils vont tous partir au bayern a la juve ou a monchen ou en espagne la preuve on perdu jeune espoir parti a bilbao par ce qu’il n’est pas sécurisé donc avec l’évolution des salaires les jeunes talents meritent au moins entre 15 et 20.000 euros comme que c’est eux les futures il faut les sécurisés sinon les clubs cités plus haut sont a coté avec leurs mallétes pleines de fric pret a vous piquér le jeune talent sainté n’avez pas sécurisé BAMBA au moment des préts comme le fond les grands clubs avant le pret on te sécurise pour quatre ans moi les jeunes soit disant futur talent de sainté qui ont signés leurs premiers contrat c’est pour deux ans ou la sécurisation labà il n’y a pas ! pour sécuriser il un jeune talent on lui propose un contrat de quatre années ça permet au jeune de se mettre en confiance et va bien travaillé sinon tous les futures bamba partirons ALLEZ LES VERTS
bamba n’a jamais voulu signé, il a amusé tous le monde pendant 1 an