« Sacked » ! Viré. C’est l’un des nombreux qualificatifs accompagnants outre-manche, l’éviction d’Unai Emery de son poste de manager d’Arsenal. Le technicien espagnol est resté moins de temps (moins d’une saison et demi) sur le banc des Gunners que celui du Paris Saint-Germain. Freddie Ljungberg va se charger de l’intérim, mais le Suédois n’est pas considéré partout comme une piste durable. A tout le moins, pas à sa nomination, il lui restera toute la fin de l’exercice 2019-20 pour faire ses preuves.
Un match à trois entre Ljungberg, Allegri et Nuno Espírito Santo
Pour la reprise en juillet, les bookmakers anglais hésitent entre Ljungberg conforté par sa direction ou Nuno Espírito Santo, en poste à Wolverhampton et l’Italien Massimiliano Allegri ; lui ayant l’avantage pour les Gunners d’être libre. Pour tous les trois la cote est proche, dans une fourchette de 2,5 à 4 contre un en moyenne, avec des tendances parfois différentes entre les opérateurs. Mikel Arteta n’est pas très loin de ce trio, il n’est pas à exclure que l’ancien milieu de terrain des Gunners poursuive son expérience d’entraîneur, au bord de la pelouse de l’Emirates Stadium.
Les bookmakers voient Henry plutôt que Blanc sur le banc d’Arsenal
Mauricio Pochettino, n’est pas dans ce même registre. Son expérience chez les Spurs de Tottenham rivaux est surement trop fraiche sur son CV, pour être une piste acceptable par les supporters d’Arsenal. Usés pour certains, tel que cela circule sur les réseaux sociaux. L’Argentin est à près de 10 fois la mise initiale. Benitez, Eddie Howe, Steven Gerrard ou Carlo Ancelotti sont d’autres noms qui circulent. Laurent Blanc également, lui qui a vu Unai Emery prendre sa suite au PSG. Ce serait un clin d’oeil amusant, mais pas franchement possible, à en juger par la cote à 50 et plus. Même Thierry Henry, pourtant tout juste nommé à l’Impact Montréal est jugé plus crédible que l’ancien sélectionneur français.