Le P-QSI-G, élève modèle
La DNCG n’a que faire des sources de revenus d’un club, l’argent peut émaner de la poche des dirigeants du club par exemple (contrairement au fair-play financier de l’UEFA). Pour l’instant, les Qataris peuvent investir à foison sans se soucier d’un quelconque équilibre avec les recettes que génère le club même, ce qui fait du PSG un élève modèle pour la DNCG. La Ligue 1 est dans un tel état que les millions venus du Moyen Orient constituent un apport non-négligeable pour le football français, selon Richard Olivier.
Un PSG qui satisfait la DNCG
Celui-ci s’est montré dithyrambique quant aux investissements consentis par le PSG depuis l’arrivée de Nasser al-Khelaïfi & co. « Plus il y aura de joueurs de prestige en L1, plus il y aura de spectateurs. Les Qatariens sont top. Ils mettent 200 millions d’euros et, avec eux, on peut espérer reprendre la quatrième place à l’indice UEFA. Ils remplissent les stades et vont rapporter de l’argent directement ou indirectement », a-t-il déclaré. Voilà qui est clair.
L’éponge QSI
Rappelons que l’an dernier, le rachat du PSG par Qatar Sports Investments pour 40M€ avait permis d’éponger la dette du club (20M€), et ainsi, de n’enregistrer que 201.000 euros de pertes à la DNCG. Tant que le fair-play financier n’entrera pas en vigueur, QSI épongera toute dette de son club français, de quoi toujours ravir le gendarme français. Examen réussi pour le PSG.