
À quelques jours du lancement de la nouvelle Coupe du monde des clubs à 32 équipes sur le sol américain, les algorithmes d’Opta livrent leurs premières prédictions. Cette compétition inédite, programmée du 15 juin au 13 juillet, chamboule le paysage du football mondial ordinaire avec un format élargi qui réunit l’élite planétaire.
Les modèles statistiques placent le Paris Saint-Germain en tête des favoris avec 18,5% de chances de soulever le trophée. Cette première place s’explique en grande partie par le récent sacre européen du club parisien, qui a enfin décroché sa première Ligue des champions face à l’Inter Milan. Cette victoire historique a propulsé les Parisiens au sommet de la hiérarchie mondiale selon les analystes.
L’algorithme accorde au PSG près de trois quarts de chances (75,4%) d’atteindre les quarts de finale et une probabilité de 49,2% de figurer dans le dernier carré. Ces pourcentages reflètent la confiance placée dans l’effectif parisien, désormais auréolé de son statut de champion d’Europe.
L’Europe se présente en leader de la compétition
Manchester City suit de très près avec 17,8% de probabilités de remporter la compétition. L’écart minimal entre les deux formations (0,7 point) témoigne de l’équilibre au sommet du football européen. Les Citizens, habitués des sommets continentaux, bénéficient d’une cote de confiance similaire au PSG pour les phases finales.
Le classement Opta révèle une domination écrasante des clubs européens dans les pronostics. Les dix premiers sont tous issus du Vieux Continent, avec le Bayern Munich (12,8%), l’Inter Milan (12,3%) et le Real Madrid (9,8%) qui complètent le quintette de tête. Cette prédominance européenne ne surprend guère, compte tenu de la force économique et sportive des championnats du continent.
Malgré cette hégémonie du Vieux Continent, quelques formations sud-américaines tirent leur épingle du jeu. River Plate (0,3%), Palmeiras (0,3%) et Flamengo (0,3%) conservent des chances théoriques de créer la sensation, même si leurs probabilités restent marginales. Ces pourcentages modestes reflètent les disparités économiques entre continents, mais rappellent aussi que le football réserve parfois des surprises lors des grandes compétitions internationales.
Cette nouvelle mouture de la Coupe du monde des clubs, avec ses 32 participants et son déroulement estival aux États-Unis, constitue une révolution dans le calendrier footballistique international. L’élargissement du plateau pourrait favoriser les surprises et remettre en question la hiérarchie établie par les algorithmes.
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— Opta Analyst (@OptaAnalyst) June 9, 2025