Que font l’ancien footballeur Ronaldo et les représentants, du FC Barcelone, de la NBA, de la Banque interaméricaine de développement (BID) et du géant publicitaire britannique WPP autour d’une même table ? Il discutent le projet cher au footballeur brésilien qui vise à développer le football dans les favelas.
Avec pour devise « Le sport comme héritage pour la transformation sociale », Ronaldo soutient la construction de dix-huit centres sportifs dans des quartiers pauvres de Rio. Il baptisera les lieux « villages olympique » en référence aux JO de 2014 que le Brésil accueillera. Parmi ses soutiens, Ronaldo peut compter sur le FC Barcelone qui justifie son investissement par le fait qu’en 1992, le club catalan avait profité pleinement de l’effet des JO de 1992.