Accusé de viol en mars 2009, la justice l’a blanchi en septembre dernier. L’attaquant de l’ASSE, Brandao, pourrait avoir été victime de chantage…
Il dit ce samedi dans L’Equipe des huit-mois et demi de l’affaire de viol présumé dont il était au coeur : « C’a a été une expérience très amères à vivre. » Mis en examen pour viol en mars 2009, l’attaquant de l’ASSE, Brandao, a été blanchi par la justice française suite au non lieu qu’elle a prononcé à son égard le 27 septembre dernier.
Des SMS qui soutiennent l’hypothèse d’un chantage
Il n’est pas coupable et il se pourrait même qu’il ait été l’acteur involontaire d’une machination ainsi que l’expliquait Le Provence ce jeudi. Des SMS envoyés puis effacés du portable de la plaignante, une jeune femme de 24 ans, sèmeraient en effet le trouble car ils seraient révélateurs d’une tentative de chantage.
L’attaquant de l’ASSE ni amer ni revanchard
L’un d’eux ferait état d’une « somme de 5 000 € en contrepartie d’un non-dépôt de plainte » est-il écrit sur Laprovence.fr. D’autres indices soutiennent l’hypothèse d’une machination à en juger par l’ordonnance du juge d’instruction que s’est procuré le quotidien régional. Brandao, pourtant, dit dans les colonnes de L’Equipe n’en garder « aucune amertume ni sentiment de revanches envers qui que ce soit… » Même si depuis l’attaquant de l’ASSE ne fait plus « confiance aussi facilement à n’importe qui.«