Le Clasico, Real Madrid – FC Barcelone, du 10 décembre prochain à Santiago Bernabeu approche pour les stars du Barça et du Real. Et forcément, pour Josep Guardiola, l’entraîneur de la bande à Messi, les questions fusent sur le choc. Pour une fois, c’est Jose Mourinho et les Galactiques qui disposent des faveurs des pronostics face au champion d’Espagne et d’Europe. La pression, elle, devrait être à son comble pour le staff des deux équipes. Et la passion des aficionados, elle devrait atteindre les sommets…
Guardiola relative le Clasico en pensant à Sarkozy et Merkel
Mais Guardiola, lui, a trouvé le moyen de relativiser ce match de l’année. Pour son staff, son équipe, mais aussi pour tous les supporters et les médias qui ont parfois (pour ne pas dire tout le temps) tendance à attacher un peu trop d’importance à l’éternelle rivalité Barça – Real… Josep se lance donc, ce lundi en conférence de presse, dans un comparatif du Clasico avec le sommet politique Sarkozy-Merkel. Notre président de la République et la chancelière allemande participent en effet au sommet des chefs d’Etat européens, programmé les 8 et 9 décembre prochain, soit 24 heures avant le Clasico. Et Guardiola rappelle que c’est bien ce moment politique qui constitue un vrai rendez-vous d’actualité, capital pour les Espagnols. Et non pas le Clasico de football.
Pour Guardiola, le jour important est le 9 décembre et pas le Clasico du 10 décembre
Du Guardiola dans le texte: « Le jour important est le 9 décembre et ce que Merkel et Sarkozy vont faire pour sauver l’Euro et non pas le Clasico. Le pire serait que les gens ne puissent pas un jour sortir de ce cette crise ». Sous-entendu, une défaite du Barça contre le Real Madrid ne représente pas grand chose pour les gens comparé aux difficultés économiques des pays européens. Difficile de lui donner tort…
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