Il n’y a pas que la dénomination « Olympique » ou le récent partenariat signé communément avec l’opérateur Free, pour rapprocher l’OL et l’OM, à la fois rivaux sur le rectangle vert et en même temps semblables sur bien des points. Notamment le business. Celui qu’il génère sur le fond car sur la forme, Lyon est unique en son genre en France étant le seul club coté à la bourse.
Deux clubs que presque tout oppose, mais aux business proche
Sinon, les deux Olympique génèrent des revenus équivalents, leurs budgets cette saison le sont également, ils investissent ambitieusement sur le marché des transferts, ils ont des effectifs valorisés dans des proportions assez proche, toutefois, tel que le montre notre comparatif business Sportune ci-dessous, l’OL a pris un temps de retard sur la cession de joueurs cette saison, pour équilibrer la balance (il lui restera la période de janvier pour le faire) et la masse des salaires a (beaucoup) plus de poids sur ses recettes (78,7%) que du côté de l’Olympique de Marseille qui affiche une meilleure maîtrise au ratio de 57%.
L’OM gagne l’Olympico du public et de la popularité sur l’OL
L’OM gagne aussi le match de la popularité digitale, quoique sur la croisse récente sur une période d’un an environ, l’évolution des deux clubs est assez similaire. Marseille domine aussi sur les affluences, mais il a l’avantage d’avoir un Vélodrome en capacité plus grande que celle du Groupama Stadium. Et de surcroît un public plus fidèle, même dans les périodes d’adversités, tel que l’ont démontré les chiffres de la saison dernière, quand les deux équipes ont tour à tour traversé des trous d’air sportifs. Au bilan le Vélodrome a toujours été quasiment plein, c’est moins vrai dans les travées du stade lyonnais.