Un Red Bull peut en cacher un autre. Pour l’OM, en Ligue Europa, l’identité, les valeurs et l’image des clubs restent la même du quart à la demi-finale, entre Leipzig en Allemagne et désormais Salzbourg, dès ce jeudi. Le fil conducteur, c’est Red Bull, la boisson énergétique, omniprésente dans le monde du sport et de plus en plus du foot. Elle compte quatre franchises dans sa galaxie : à Salzbourg, en Autriche, où siège la marque et vit son fondateur, le très riche Dietrich Mateschitz ; à New York, anciennement club de Thierry Henry et les plus récents RB Brésil et RasenBallsport Leipzig.
8 joueurs de Leipzig et 3 de Salzbourg que l’OM affronte ce jeudi
Salzbourg et surtout Leipzig concentrent les meilleurs joueurs, il y a une forme d’évolution logique dans la stratégie de la marque, à l’exemple du latéral brésilien Bernardo, formé au RB Brésil, il est passé par Salzbourg et joue depuis deux ans à Leipzig. Lui n’est pas dans nôtre 11 le plus cher de la galaxie Red Bull, tel que nous l’avons articulé pour une plus large mixité des joueurs. A sa place, le plus offensif Valon Berisha, à la cote marchande un peu plus élevée, selon les estimations du portail Transfermarkt. L’international norvégien est l’un des trois joueurs de la franchise autrichienne, les huit autres défendent le club allemand.
Un 11 de Red Bull qui vaut 236,5M€ en valeur de transfert
Ce Onze vaut 236,5 millions d’euros en valeur de transfert. Un joueur approche les 24 millions d’euros, en moyenne, sur le mercato. C’est ce que valent le Suédois Emil Forsberg, l’Autrichien Marcel Sabitzer ou le défenseur français, Dayot Upamecano à Leipzig. Et la fourchette que taquine, le prometteur milieu de Salzbourg, Diadie Samassékou. A titre de comparaison, le 11 le plus cher de l’Olympique de Marseille estimé, vaut près de 150 millions d’euros. A la différence de Mateschitz, Frank McCourt n’a que ce club, dans son portefeuille personnel.