Ceux qui le côtoient sont élogieux à son égard, ça vaut pour ses coéquipiers ou le staff du Toulouse Football Club. Jimmy Durmaz est un joueur entier, au caractère fort dans le sens de son histoire personnelle et celle de sa famille : ils ont fui la guerre pour la Suède ou le joueur est né, il y a 28 ans. Ce mardi, le magazine France Football l’a choisi, dans son onze des joueurs sous-côtés de la Ligue 1, qui méritent que l’on s’intéresse à eux. Le Toulouse FC ne s’y est pas trompé en l’enrôlant depuis l’Olympiakos en Grèce, pour une indemnité de 2M€. Contre également, un salaire avoisinant les 80.000 euros bruts mensuels, hors bonus.
Jimmy Durmaz est au Toulouse FC depuis 2016, sous contrat jusqu’en 2019
Cela vaut une saison à près du million d’euros, pour l’international suédois. Qui a signé un contrat de trois ans, à l’échéance de la fin de la saison 2018-2019 de Ligue 1. Cela hisse le gaucher toulousain, dans la fourchette plutôt haute du vestiaire dirigé par Pascal Dupraz. Tout cela ne prenant bien évidemment pas en compte, ni les variables incluses dans le contrat, ni les nombreuses subtilités autorisées par les clubs, comme la règle de l’impatriation qui s’applique dans le cas de nombreux joueurs venus de l’étranger, comme Durmaz justement.
Un baroudeurs à l’histoire personnelle particulièrement riche
Avant de signer à Toulouse, Jimmy Durmaz (28 ans), a un peu baroudé sur les pelouses du Vieux Continent. De la Suède et le club de Malmö d’abord, à la Turquie ensuite (au Genclerbirligi Ankara), puis la Grèce et l’Olympiakos. Outre de voir du pays, ces changements successifs lui confèrent l’avantage d’être devenu polyglotte ; au journal L’Equipe dernièrement, il confiait parler désormais cinq langues.