A qui le tour ?
Jusqu’ici en France, aucun club n’a cédé à la tentation. En Allemagne, le Sankt Pauli, une équipe à part parmi les plus fédératrices et politiquement engagés du football, a ouvert la voie. Que le Werder Brême a suivi à son tour.
Ils ont choisi de quitter le réseau social X, anciennement Twitter, parce qu’ils dénoncent les choix de son propriétaire, Elon Musk, en matière de prévention et de censure de messages haineux, homophobes ou xénophobes qui pullulent de plus en plus sur la toile.
Pour continuer à fédérer leurs fans, ces deux clubs leur donnent rendez-vous sur l’alternative BlueSky, qui fonctionne à l’identique ou presque de X. Et pour cause, il a été créé par Jack Dorsey, l’homme à l’origine de Twitter.
En Ligue 1, de plus en plus clubs y viennent. Ce mardi, c’est l’OL qui a créé sa page. Sept d’entre eux ont déjà franchi le pas.
Et Sportune aussi, bien avant qu’Elon Musk ne devienne un soutien massif du nouveau président des Etats-Unis, Donald Trump
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