Avant de devenir rugbyman professionnel, Sébastien Chabal travaillait à l’usine en tant que fraiseur. Alors que la polémique enfle autour de ses propos sur l’arbitrage du rugby en France (qu’il a traité de nul dans le JDD dimanche), Caveman revient sur cette période de sa vie. « J’était très heureux en tant que fraiseur à l’usine, raconte-t-il sur les ondes de RTL. J’ai adoré ce métier. J’étais très heureux à cette période. J’aivais l’impression d’avoir trouvé ma place dans la société, de servir à quelque chose. »
« Chabal, on peut presque dire que c’est une marque »
Pour autant, le joueur du Racing-Metro, actuellement mis à pied par son club, ne regrette rien et admet une vie plus confortable aujourd’hui. Avec ses revenus estimés à 2 millions d’euros brut annuel, Sébastien Chabal n’a, effectivement, plus le même train de vie. Et assume sa nouvelle vie : » Chabal, on peut presque dire que c’est une marque. Je m’accoutume de tout ce qu’il y a autour. Tout ce qui est extérieur, publicitaire, fait partie de ma vie. Mais je ne sacrifie pas une minute de rugby pour faire quelque chose à côté. »
Sébastien Chabal pour RTL: « J’était très heureux en tant que fraiseur à l’usine. J’ai adoré ce métier. J’étais très heureux à cette période. J’aivais l’impression d’avoir trouvé ma place dans la société, de servir à quelque chose. »