« J’étais jeune, j’ai fait beaucoup d’erreurs. Aujourd’hui, je suis un autre homme. J’ai appris et je sais que je ne referais pas les mêmes erreurs. » Ces mots, rapportés par L’Equipe, sont les premiers de Jean-Kévin Augustin depuis son arrivée au FC Nantes. Ils justifient la suite de ce sujet, qui pointe la chute de la valorisation du joueur, sur le marché des transferts.
Jean-Kévin Augustin a rejoint libre le FC Nantes
Il y a trois ans et demi, à l’été 2017, le RB Leipzig versait 13 millions d’euros et quelques autres de bonus au PSG, pour recruter l’attaquant, alors tout juste âgé de 20 ans. Croyant fort en lui, le club allemand lui fera signer un contrat sur cinq ans. Qu’il n’honorera pas jusqu’à son terme. Prêté à Leeds, en Championship, il n’y fera qu’un passage éclair, pour un temps de jeu famélique d’une poignée de minutes. Leipzig et le joueur décideront conjointement de rompre le contrat, pour permettre à Jean-Kévin Augustin de signer où il le souhaite.
Une valeur marchande en baisse de près de 60%
C’est donc avec le FC Nantes qu’il s’est engagé sur les deux prochaines saisons. Sans indemnité pour le club à payer, c’est en ce sens une possible affaire. Dans sa dernière mise à jour, la plateforme Transfermarkt s’est penchée sur le profil du Parisien de naissance. Elle l’a dévalué de 57,1%, estimant désormais sa cote sur le marché des transferts, à 6 millions contre huit précédemment. C’est la baisse la plus significative observée en Ligue 1, à l’exception du nouveau latéral gauche de l’OM, le Japonais Yuto Nagatomo (-60%), parce qu’il est de plus de dix ans, l’aîné d’Augustin.
Publiée par FC Nantes sur Mercredi 7 octobre 2020
Un commentaire
Monsieur Kita.
C eßt le résultat de votre recrutement.
Il est temps d avoir une équipe Européenne
Arrêtons les erreurs !!!!!!