Savez-vous qu’il existe un classement des meilleurs sites officiels des clubs engagés (dont les deux Français, le PSG et l’OM) en phase finale de la Ligue des champions ? C’est l’agence espagnole de marketing online, Departamento de internet qui chaque année évalue dans un rapport que nous nous sommes procurés, la qualité des sites officiels des clubs sur la base de plusieurs critères allant de l’esthétisme d’ensemble à la simplicité de navigation, jusqu’à des choses plus techniques telles que la structure même du site, les URL ou plus basiques comme d’acheter un billet en ligne.
Le Bayern champion d’Europe même sur le web
Au total, l’enquête repose sur 13 critères, chacun ayant un coefficient d’importance plus ou moins élevé. Et c’est le Bayern Munich qui l’emporte, preuve que les Bavarois sont champions toutes catégories avec une note finale de 96 sur un barème de 100 points. Les Allemands partagent la victoire avec six autres clubs dont Arsenal (95 points), le FC Barcelone (89 points) ou le PSG (88), tous classés par le Departamento de internet comme excellent, tant en terme d’expérience d’utilisateur que de soins apportés à la mise à jour des informations et l’esthétique d’ensemble.
Le PSG s’en sort avec les honneurs, l’OM doit mieux faire
Le verdict est en revanche plus sévère avec la Juventus (83 points), Manchester United (77) ou Chelsea (74) notamment qui peuvent tous mieux faire, surtout selon l’agence, pour rendre l’expérience identique à tous qu’ils soient sur leur ordinateur, leur tablette ou leur smartphone. Quant à l’OM (46 points) enfin, il se consolera peut-être de se savoir sur les talons du Borussia Dortmund (46 points également) et non loin du Real Madrid (51 points) mais sa note n’en demeure pas moins parmi les plus basses de la compétition. Le club phocéen a même perdu des places au classement, d’une saison sur l’autre. A son propos comme pour le Borussia et le Real Madrid, l’agence sanctionne notamment la difficulté à obtenir des billets sans évoquer les autres manques propres à chaque site. Celui de l’OM, par exemple, ne propose que le Français et l’Anglais quand le PSG se décline en sept langues différentes. Ce n’est qu’un détail. Mais un détail qui compte.
Un commentaire
Et encore il y a du avoir de l’Autriche ou des chèques