Il y a les coquets, comme Thomas Voeckler qui aime à customiser les siens au gré de ses performances, les machines de guerre des frères Schleck et les modèles plus classiques que préfère l’Australien Cadel Evans… L’histoire du Tour de France s’écrit aussi avec les vélos sans lesquels les coureurs ne seraient finalement rien et dont on sait, évolution technologique du matériel oblige, qu’ils ont leur importance dans la réussite du champion.
Sur le Tour de France 2011, le vélo le plus cher est celui des frères Schleck !
Et cette course à l’armement n’a plus de limite de prix. Le vélo des frangins, Franck et Andy Schleck se vend plus de 10.000€ (les prix sont ceux pratiqués en boutiques) ; celui des Liquigas-Canondale d’Ivan Basso à presque 8.000€… L’explication, c’est les années de recherches effectuées pour répondre au plus juste aux exigences de chacun. Les vélos des champions modernes sont tous fabriqués de carbone, aussi légers que l’exige l’Union cycliste internationale (poids minimum sur route de 6,8 kg).
Resta alors à répondre à l’épineuse question : le vélo fait-il le coureur ? Ce que l’on peut en dire c’est que des cinq de devants, plus Alberto Contador, celui qui possède la « bécane » la moins chère est l’actuel maillot jaune, Thomas Voeckler !
Un commentaire
J'ai vu le vélo de Andy Schleck, c'est le rêve d'avoir un vélo comme celui-ci, il ne pèse rien, ça doit être tellement agréable en course. Moi qui fait du sport régulièrement avec deux amis de l'ileps, je crois qu'on voit les accélérations, les descentes et les montés différemment avec ceci comme équipement !