Faisons fi de ses performances sportives sous le maillot de l’Olympique Lyonnais, elles sont assez discutées par ailleurs. Et attardons-nous sur ce qui un trait caractéristique de Jérôme Boateng, sorti des terrains de football : les voitures et l’intérêt qu’il semble y porter. Le défenseur allemand sort ici de l’ordinaire, tant sur les modèles qu’il éprouve que le style qu’il donne à ses bolides. La plupart n’étant accessibles qu’à des footballeurs de sa catégorie.
Le défenseur de l’OL a des bolides d’exception, parfois personnalisés
Nous avons relevé au moins trois voitures qui avoisinent les 500 000 euros à l’achat. Toutes ont été customisées, par le défenseur de 33 ans. Comme sa Bentley Continental GT noire mat et carbone, transformée par le célèbre préparateur allemand, Mansory. Et à propos de préparateur allemand, c’en est un autre – Brabus -, qui est à la finition, de son bolide le plus volumineux (et possiblement le plus cher) : un G63 AMG Brabus. Le footballeur allemand l’a d’abord reçu noir, il en a changé pour un kaki plus militaire, quelques années plus tard.
Des Audi obligatoires pour jouer avec le Bayern Munich
Enfin, last but not least de ses voitures les plus chères, la plus récente Lamborghini SVJ, qu’il s’est offert, sur la dernière saison au Bayern Munich, alors dans son ancienne maison aujourd’hui à vendre 12,5 M€. La sienne de Lamborghini est blanche, sobre mais efficace. Ces joujoux rares et couteux mis à part, Jerôme Boateng a beaucoup roulé en Audi, toutes ses années passées en Bavière (10 ans), car le Bayern a le constructeur automobile dans son actionnariat. Lequel refuse toute autre voiture de sa marque aux anneaux sur le parking des joueurs. Sans quoi ces derniers se risquent à une amende. Jérôme Boateng avait notamment à la bonne, le puissant modèle R8.
Une sortie de route en Mercedes en plein confinement, en 2020
Et puisque l’on parle d’amendes, Boateng en a reçu une d’une Bayern, en 2020, pour avoir rompu la quarantaine, en période de confinement, car le joueur a souhaité sortir pour aller voir son fils, mais il a encastré, en chemin, sa Mercedes CLK 63 AMG, sur une glissière de sécurité. Plus de peur que de mal, mais ses oreilles ont été frictionnées, d’abord par le froid épais, le jour de l’accident, puis par la direction de son ancien club.