Interrogé longuement par France Football ce mercredi, le co-président de l’ASSE, Roland Romeyer est revenu sur le sujet du salary cap imposé chez les Verts et maintes fois expliqué depuis qu’il est en vigueur (lire : les contrats des Verts expliqués pour les nuls). Mais il faut surtout comprendre des confidences qu’il nous livre, que les primes à la performance sont une variable qui change selon la situation sportive du club.
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Comprenons donc que l’ASSE est devenu plus ambitieux depuis quelques années, Roland Romeyer pointant l’exercice 2009-2010 comme véritablement tournant chez les Verts. Car au commencement les joueurs recevaient une prime à partir à compter du moment où le club se sauvait en Ligue 1. Puis dès la dixième place. Désormais, « le système commence à la huitième place car on considère que l’outil de travail et l’image de l’ASSE se sont améliorés » dit Romeyer dans France Foot.
L’ASSE fait des émules en Ligue 1
« Mais plus on grimpe et plus les primes deviennent intéressantes quand on se rapproche de l’Europe » poursuit-il comme un autre signe de l’ambition croissante du club, assumée par la direction. Force est de constater que la formule contractuelle (un salaire de base et des primes à la performance importantes) appliquée par les Verts – inspirée de nos voisins allemands -, donne des résultats significatifs. La preuve étant, Romeyer s’en réjouit que d’autres clubs de Ligue 1 y viennent également.
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