La prochaine pépite du Paris Saint-Germain pourrait venir d’Italie. On sait le club de la capitale intéressé (comme beaucoup d’autres) par le très jeune (16 ans) attaquant du Genoa, Pietro Pellegri. Il l’est également par le profil du milieu de terrain de la Lazio Rome, Sergej Milinkovic-Savic, âgé de 22 ans. Ils sont plusieurs les clubs sur la piste du natif de Lérida en Espagne, mais joueur de nationalité serbe. C’est ce qui donne encore plus de prix au transfert, à considérer par ailleurs que son club veuille bien le vendre. Ça n’est pas le cas, ou sinon contre une énorme indemnité de transfert. A combien se négocierait la signature du joueur ? Focus…
Depuis qu’il a prolongé en février, Sergej Milinkovic-Savic est devenu très cher pour le Paris SG our le reste des courtisans
Les médias italiens, la chaîne publique Rai et la presse écrite sportive notamment, se font l’écho de contacts établis par le PSG et les représentants du jeune homme. Joueur au profil très complet dans l’entre-jeu que ce soit à la récupération qui n’est pas son rôle premier, ou la distribution du ballon, Sergej Milinkovic-Savic approche la trentaine de millions d’euros en valeur marchande. Pour un joueur de son âge, dans un club de l’envergure moyenne comme l’est la Lazio aujourd’hui, cela représente pas mal d’argent. Mais l’autre club de la capitale (avec l’AS Rome), en voudrait plus. Beaucoup (beaucoup) plus. Il se dit qu’il pourrait fléchir pour une proposition proche de 80 millions d’euros. Son contrat renouvelé en février dernier, pour cinq ans, jusqu’en 2022, laisse à la Lazio toute la marge de manoeuvre voulue pour négocier au mieux et sans précipitation, son possible transfert.
Plus couteux sur l’indemnité de transfert que sur le salaire. Encore que tout peut grimper très haut
Qui dit extension de bail dit bien souvent augmentation. De surcroît dans le cas d’un jeune prometteur comme l’est le Serbe. Depuis son nouveau contrat officiel, Sergej Milinkovic-Savic avoisine les 1,5 millions d’euros net la saison. Il compte pour quatrième joueur le mieux payé de son équipe, derrière Leiva, Nani (2,5M€/an pour les deux) et Immobile, à 2,2 millions d’euros. Changer de club pour un plus gros calibre mondial signifierait pour lui de prendre une substantielle augmentation de revenus, plus ou moins amplifiée selon la concurrence sur le dossier.