- Accorder trop d’importance à la nationalité
Certaines nationalités sont surévaluées sur le marché des transferts (par exemple les Brésiliens ou les Hollandais) et d’autres sous-évaluées (au hasard, les Biélorusses ou les Boliviens). Comme le dit un agent de joueur mentionné par le livre de Kuper et Szymanski : « C’est triste à dire mais il est beaucoup plus facile de vendre une ‘merde’ brésilienne qu’un mexicain brillant.». Pour s’en convaincre, il suffit de regarder le nombre de Brésiliens dans les effectifs de Ligue 1 et Ligue 2 qui ne jouent quasiment jamais… Qui se souvient du passage d’Everton Santos au PSG ?