Gérard Lopez a fait de sa présence, la base de son projet de reprise du Lille OSC ; l’homme d’affaire luxembourgeois a mis de gros moyens pour recruter le technicien argentin, Marcelo Bielsa. Selon une information récente du journal L’Equipe, son salaire, à l’ajout toutefois de ses adjoints, approche le demi-million d’euros net mensuels. Soit, rapporté au brut pour soutenir la comparaison avec le reste des coachs du plateau, quelque chose de l’ordre de 642.000 euros qui hisse El Loco sur la plus haute marche des coachs les mieux payés de la Ligue 1. Devant ceux déjà en place, que sont Unai Emery au Paris SG, Rudi Garcia à l’Olympique de Marseille, sinon Bruno Genesio à Lyon…
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Le gros salaire de Marcelo Bielsa au LOSC, supérieur à Emery au PSG, Garcia à l’OM ou Ranieri à Nantes
Marcelo Bielsa les domine tous et il émarge au club nordiste, à un niveau de revenus bien supérieur aux 300.000 euros bruts mensuels, sans les primes, qu’il touchait à l’Olympique de Marseille. A Lille, El Loco compte trois adjoints et un préparateur physique compris dans sa rémunération. Il n’en est pas moins confortablement juché à la première place, suivi d’Unai Emery, dans sa dernière année de contrat à 5 millions d’euros la saison, au Paris Saint-Germain. Rudi Garcia, malgré un salaire augmenté cet été de 160.000 à 250.000€ par mois, comme prévu dans son contrat, pointe en cinquième position. Devancé qu’il est par Leonardo Jardim, prolongé (avec revalorisation salariale), dans le courant de l’été et Claudio Ranieri, la très bonne pioche de Waldemar Kita, au FC Nantes.
Garcia à Marseille devancé par Jadrim à Monaco et Ranieri au FC Nantes
Avec le départ d’Oscar Garcia de l’AS Saint-Etienne la hiérarchie a changé, Lucien Favre, à l’OGC Nice, Antoine Kombouaré, à l’En avant Guingamp et Jocelyn Gourvennec, aux Girondins de Bordeaux, s’ajoutent aux coachs cités plus haut. Les salaires des entraîneurs de Ligue 1 sont chaque saison en augmentation, mais ils restent bien inférieur pour certains, aux joueurs qu’ils dirigent sur le carré vert. Rare sont en effet les coachs qui gagnent plus que leurs protégés. Mais cela arrive, à l’exemple d’Antoine Kombouaré, chez les Bretons de Guingamp.