
Nassourdine Imavov s’apprête à disputer le combat principal de l’UFC Paris 2025 face à Caio Borralho ce samedi en soirér, à l’Accor Arena. Le Français, qui reste sur une victoire remarquée contre Israel Adesanya, bénéficie d’une rémunération revalorisée grâce à son nouveau statut de tête d’affiche.
La bourse garantie du combattant français s’établit à 350 000 dollars estimés, soit environ 320 000 euros au cours actuel. Cette somme de base peut considérablement augmenter selon les performances et les résultats de l’événement. En cas de victoire assortie d’un bonus Performance of the Night (POTN) ou Fight of the Night (FOTN), les gains totaux d’Imavov pourraient atteindre 1,2 million de dollars.
Un combat pour le titre mondial en suivant ?
Cette estimation inclut sa part sur les revenus pay-per-view, évaluée entre 400 000 et 700 000 dollars selon le nombre d’achats de l’événement. Caio Borralho, fort de sept victoires consécutives, percevra une bourse comprise entre 250 000 et 275 000 dollars pour ce main event. Cela marque une progression significative par rapport à ses précédents combats UFC.
Le Brésilien pourrait voir ses gains grimper jusqu’à 700 000 dollars en cas de victoire, grâce aux bonus de performance, revenus de sponsoring et éventuels dividendes pay-per-view. Cette fourchette dépendra notamment des performances individuelles et du succès commercial de l’événement.
Ce combat en tête d’affiche représente une opportunité financière considérable pour les deux athlètes. Les montants en jeu reflètent l’importance accordée par l’UFC à cette confrontation, qui pourrait déterminer le futur challenger au titre des poids moyens. La différence de rémunération de base entre les deux combattants s’explique par l’expérience et la notoriété supérieures d’Imavov dans la division, notamment après sa victoire de prestige contre l’ancien champion Adesanya.
Le vainqueur de cet affrontement pourrait devenir le challenger officiel pour le titre mondial prévu à l’occasion de l’UFC 319 entre Dricus Du Plessis et Khamzat Chimaev.