
L’équipe de France féminine dirigée par Laurent Bonadei a terminé première de son groupe D dimanche soir, après avoir battu successivement l’Angleterre (2-1), le Pays de Galles (4-1) et les Pays-Bas (5-2). Ce parcours sans faute leur ouvre les portes des quarts de finale, où elles affronteront l’Allemagne ce samedi soir.
Avec cette qualification, les Bleues ont d’ores et déjà empoché 2 650 000 euros. Cette somme se décompose en trois éléments : la prime de participation de 1,8 millions d’euros versée à chaque équipe qualifiée, les trois victoires en phase de groupes rapportant chacune 100 000 euros (soit 300 000 euros au total), et la prime de qualification en quarts de finale s’élevant à 550 000 euros.
Les Bleues peuvent encore viser la prime maximale
L’UEFA a considérablement revalorisé les primes de l’Euro féminin 2025, avec une enveloppe globale portée à 41 millions d’euros, soit une hausse de 156% par rapport à l’édition 2022. Cette augmentation s’inscrit dans une volonté d’accompagner le développement du football féminin.
En cas de parcours idéal jusqu’à la victoire finale, les Françaises pourraient encore gagner 2,45 millions d’euros. Une qualification en demi-finale leur rapporterait 700 000 euros supplémentaires, l’accès à la finale 850 000 euros de plus, et le titre européen 1,75 millions d’euros additionnels. Le montant maximal qu’une équipe peut percevoir lors de cet Euro 2025 est fixé à 5,1 millions d’euros, somme que les Bleues peuvent encore atteindre en remportant leurs trois prochains matchs.