C’est au stade de La Mosson de Montpellier qu’il fallait être, cette saison, pour voir des buts à moindre coût. Conclusion tirée du sujet, « Combien faut-il dépenser pour assister à un but dans les stades de Ligue 1?« , dont nous vous livrons ici quelques résultats. Le postulat repose sur le ratio entre le nombre buts marqués dans les stades de la Ligue 1 et le coût de l’abonnement pour les supporters.
Un but au stade du PSG vaut le double d’un au Vélodrome de l’OM
Par exemple, au Parc des Princes cette saison 2018-19 (au total arrêté à la 36e journée), 69 buts ont été marqués, dont 59 à l’avantage du PSG. A 430 euros, en moyenne, le prix de l’abonnement saisonnier, cela vaut un coût du but à 6,23 euros. Selon le même principe, il est près de deux fois moins cher, au stade Vélodrome de l’OM, à 3,62 euros, selon l’étude. Le rapport s’inverse selon si c’est un but pour, ou contre son favori. Par exemple, un but parisien dans son stade est l’équivalence de 7,29 euros. Tandis qu’un contre le collectif de Thomas Tuchel au Parc, est estimé à 48 euros.
C’est à Montpellier que le ratio buts/prix de l’abonnement est le plus avantageux
Tel que nous l’écrivions plus haut, c’est à Montpellier que l’équilibre était le plus juste à l’avantage du supporter. Au rapport des buts marqués et encaissés, un au stade de la Mosson, cet exercice 2018-19 équivalait 2,45 euros. C’est suivi du stade Raymond-Kopa d’Angers (2,50€) et La Beaujoire à Nantes (2,59€). A l’opposé stade au le ratio est le plus élevé sont le Parc du PSG, à 6,23€, le Stade Auguste-Delaune de Reims, à 5,69€ et le Stadium de Toulouse, à 4,59€.