Et l’on reparle d’Adrien Rabiot. Pour une retour tardif du milieu de terrain français à Turin, interprété de toutes les manières dans la presse transalpine et internationale. Depuis, il est écrit et dit partout, que l’ancien parisien devrait prendre un autre départ, étant considéré par la Juventus, comme une « monnaie d’échange ». De quelle valeur parle-t-on avec le joueur de 25 ans ? Analyse…
Déjà un autre départ de la Juventus pour Adrien Rabiot ?
Il est arrivé libre l’été dernier, en Italie, après un dernier exercice houleux, à l’écart du terrain et des pros du PSG ; le club qui l’a formé. Deux ans en arrière, quand il était alors un titulaire à Paris et candidat à l’équipe de France, Adrien Rabiot s’est valorisé à près de la cinquantaine de millions d’euros. Aujourd’hui il avoisine la moitié. Plus ou moins, dans ce contexte d’incertitude économique liée à la crise sanitaire. Transfermarkt estime sa valeur marchande à 25,5 millions d’euros, l’Observatoire du football également, entre 20 et 30 millions d’euros.
Contrarié par les dispositions mise en place par la Juventus ?
Avec un contrat de quatre, dont trois saisons restantes jusqu’au terme en 2023, à compenser pour le recruter. Adrien Rabiot et son agent de mère ont habillement négocié une rémunération estimée proche de 9 millions d’euros bruts la saison, plus un prime à la signature proche de 13 millions bruts. Il se dit que la famille n’aurait que peu goûté à la décision du club de réduire les salaires, en cette situation extraordinaire. Il est notamment depuis question, d’un départ à Liverpool, au club d’Everton où officie Carlo Ancelotti, un soutien de Rabiot depuis que les deux hommes se sont fréquentés à Paris.