En ce jour de Saint-Valentin peut-être plus encore que tous les autres. Ça n’empêche que même avant ou surement après ce 14 février, les athlètes en mal de compagnie amoureuse et ceux qui en ont une appartiennent tous aux grands vainqueurs des JO 2018 de Pyeongchang. Deux phénomènes l’illustrent : l’audience du réseau de rencontre Tinder sur la zone olympique et l’usage des préservatifs distribués en marge de l’événement.
Tinder explose sa fréquentation sur la zone olympique
Pour Tinder, la célèbre application américaine a augmenté de 384% l’audience de ses utilisateurs, en zone olympique. Sara Butler est une ancienne athlète pratiquant le waterpolo. A Pyeongchang, elle est présente comme suiveuse, au plus près des sportifs en compétition. Sur ses réseaux sociaux, elle a capturé quelques images de jeunes hommes et femmes, d’abord présents pour ces JO 2018, mais également et accessoirement, pour faire des (belles) rencontres. Elle rapporte qu’un athlète lui aurait confié avoir eu plus de 70 « matchs » en une journée.
37 préservatifs en moyenne prévus pour chaque athlète aux JO 2018 de Pyeongchang
Cette atmosphère très « caliente » explique peut-être l’usage quasi excessif de préservatifs. Selon le magazine Korea Biomédical Review, près de 110.000 préservatifs seront distribués en marge de la manifestation. Ça vaut une moyenne de 37 par athlètes, sachant que les Jeux Olympique 2018 ne dure que quinze jours, que la grande majorité des athlètes ne suivent pas de bout en bout. Une fois les épreuves achevés, la plupart rentrent chez eux. Ça donne une idée du stock et des prévisions effectuées.