Sera-t-il le premier transfert de l’ère Thierry Henry comme coach de l’AS Monaco ? Son profil colle totalement au projet sportif monégasque : il est jeune et pétri de talent. Cet été déjà, l’AS Monaco suivait de près l’évolution de Callum Hudson-Odoi et aujourd’hui encore selon le Daily Mail. Il n’est pas le seul, la Juventus ou des clubs anglais sont aussi sur la piste. L’AS Monaco a un avantage sur les autres d’avoir Michael Emenalo pour directeur sportif, qui est l’ancien des Blues de Chelsea où évolue le milieu de terrain de 17 ans. Jeunesse plus talent sont rarement des éléments qui se conjuguent à petit prix. A combien pourrait se négocier un transfert de Callum Hudson-Odoi depuis Chelsea pour Monaco ? Voyons quelques chiffres de l’opération…
Pas encore de valeur marchande estimée mais Chelsea souhaiterait au moins 20M€ pour le transfert
Comme il n’a pas encore été appelé parmi les A par Maurizio Sarri, il n’entre pas dans le cadre des études des plateformes spécialisées. Mais Callum Hudson-Odoi, malgré son très jeune âge a déjà un peu de « background » : professionnel à 16 ans, depuis qu’il a signé son premier contrat en juillet 2017, jusqu’au terme de l’exercice 2019-2020, il faisait partie de l’équipe d’Angleterre championne du monde des moins de 17 ans, en 2017 en Inde. Chelsea n’est pas vendeur pour un élément aussi prometteur. Mais les Blues peineront à le retenir, si un club d’envergure le veut et lui promet du temps de jeu. La presse anglaise évoque alors une négociation à au moins 20 millions d’euros. Pour un joueur jamais testé chez les grands c’est énormément d’argent. Sauf à être bien certain de son potentiel.
L’avantage de la Principauté monégasque pour les joueurs étrangers comme Callum Hudson-Odoi
A côté de l’indemnité, la question du salaire ne devrait être que « formalité ». Dans le sens où le joueur avoisine le demi-million d’euros brut ou moins, selon les estimations de nos voisins britanniques. Comme il est Anglais (et d’origine ghanéenne), il serait un étranger sur le Rocher monégasque, en conséquence de quoi, il ne serait pas assujéti à l’impôt sur le revenu comme avantage fiscal parmi d’autres, spécifique celui-là, à la Principauté monégasque.