La fête est finie pour tous les amateurs de basket. Les frondeurs de la NBA ayant manifestement trouvé une solution, toutes les vedettes du championnat de basket américain parties jouer partout sur la planète ont été sommée de rentrer au bercail pour la « nouvelle » saison. Parmi eux, le Français Tony Parker qui a disputé (et gagné), ce samedi, son dernier match avec l’ASVEL et qui, selon L’Equipe, a joué à ses frais, sans assurance qu’il n’avait plus.
On le sait que l’assurance c’est justement l’un des aspects les plus couteux pour un joueur NBA. Pour l’ASVEL, son ASVEL, Tony Parker aura fait tous les efforts nécessaires : d’accepter d’être payé au salaire minimum de la Pro A soit 1500 euros, et de prendre le risque, comme ce samedi, de jouer sans assurance. Il peut partir tranquille vers les Etats-Unis avec le sentiment du devoir largement accompli auprès du public rhodanien.