
L’ascenseur émotionnel, l’Olympique Lyonnais l’a vécu intensément en 2025, comme rarement dans son histoire. En janvier, John Textor alors encore à la présidence, débutait avec gourmandise le mercato de l’hiver. Le propriétaire américain des Gones voyait encore les choses en grand pour le club. Six mois plus tard, l’OL payait très cher ses excès.
Un « mai » qui coûte cher
Ces hauts et ces bas de la vie du club trouvent directement écho dans la valorisation de l’actionnaire Eagle Football Group, sur le marché boursier. En janvier, l’action avoisinait les 2 euros, légèrement au-dessus, au niveau de ce qu’elle était un an plus tôt au même mois de 2024. Six mois plus tard en mai, après que la Direction nationale du contrôle de gestion eut ordonné la relégation du club en Ligue 2, elle s’est soudainement effondrée à 1,5 euro. Un seuil historiquement bas sur dix ans, mais l’action a connu pire en 2013 (1,21 euros).
Endrick, le nouveau départ ?
Finalement réintégré en Ligue 1 et avec une nouvelle gouvernance, l’Olympique Lyonnais semble avoir amorcé un (bon) début de reprise. Cela se lit dans l’évolution récente de l’action, qui termine l’année 2025 à 1,62 euros, en légère hausse sur les derniers jours. Peut-être est-ce là l’effet de l’arrivée du Brésilien Endrick ?
