Il est libre, Adrien. Un joueur comme le football en fait peu aujourd’hui, à l’heure des réseaux sociaux, du » personal branding » et des contrats parfois mirifiques des commanditaires du sport. Les sponsors, Adrien Rabiot très peu pour lui. Bien qu’international français, bien que suivi par plus de 6 millions de followers sur Instagram, le nouveau joueur de l’OM ne tient pas à accoler sa profession à celle d’une marque en particulier.
Le nouveau joueur de l’OM n’a pas de contrat d’équipementier
Libre, comme de préférer un contrat court (2 ans) avec l’Olympique de Marseille, que quatre dans une plus grosse cylindrée européenne. Libre aussi de choisir les chaussures qu’ils portent sur le rectangle vert, car le joueur de 29 ans n’a pas de contrat d’équipementier, donc nulle obligation à honorer. « À un moment, je portais des Adidas puis j’ai choisi des Nike car je me sentais mieux avec, sans être sous contrat », confiait-il anciennement au journal L’Equipe. Aujourd’hui encore c’est avec la marque à la Virgule qu’il choisit d’évoluer.
Aucun sponsor et des contributions uniquement collectives
Adrien Rabiot n’a pas non plus de collaboration autre. Quant à l’Euro 2024 plusieurs de ses partenaires ont été recrutés par des marques, lui est resté discret, il n’a rien montré de tel sur les réseaux sociaux. Et ses seules présences dans des campagnes commerciales d’annonceurs le sont dans le cadre du droit à l’image collectif des Bleus, tel que prévu par la charte de l’équipe de France. Ou, cette semaine avec l’OM, dans le cadre du partenariat noué avec Free. Uniquement sous obligation du groupe et non individuelle. Car il est est libre, Adrien…